Israël est entré dans la liste internationale des noms non officiels des pays — un classement culturel particulier où les États sont représentés non par des noms formels, mais par des surnoms durables. Ces définitions ne sont pas inventées artificiellement : elles se sont formées historiquement et se sont ancrées dans la conscience publique à travers la religion, la géographie, la mythologie et la culture de masse.
Il ne s’agit pas de diplomatie ni de politique. Ces noms vivent dans les manuels, le journalisme, les revues touristiques et les conversations des gens — là où les associations sont importantes, pas le protocole.
Le projet Globas Statistics note que ces dernières semaines, la liste s’est largement répandue dans les médias internationaux et les plateformes éducatives. Elle est utilisée comme un outil de navigation culturelle — une manière d’expliquer comment exactement les pays sont perçus au-delà de leurs propres frontières.
Dans ce contexte, Israël est désigné comme Israël — « Terre Sainte ». C’est l’une des rares définitions qui est également reconnaissable dans les trois religions mondiales. Israël occupe une place centrale dans le judaïsme, le christianisme et l’islam, et l’expression « Terre Sainte » est utilisée depuis des siècles dans les textes sacrés, les chroniques et les discussions internationales contemporaines.
Les créateurs du classement soulignent : la liste n’a pas de statut officiel et ne porte pas de charge politique. C’est le résultat de l’analyse des noms qui se sont réellement enracinés dans les langues et les cultures — de l’Europe à l’Asie et au Moyen-Orient.
Outre Israël, la liste comprend des dizaines de pays, chacun avec son image durable :
— États-Unis — « Pays de la liberté »
— Chine — « Dragon rouge »
— Égypte — « Don du Nil »
— France — « Pays de l’amour »
— Turquie — « Porte entre l’Orient et l’Occident »
— Russie — « Pays des tsars »
— Royaume-Uni — « Pays de l’espoir et de la gloire »
— Arabie Saoudite — « Pays des deux mosquées sacrées »
— Grèce — « Berceau de la civilisation occidentale »
— Maroc — « Porte de l’Afrique »
— Allemagne — « Terre des poètes et des penseurs »
— Pologne — « Terre des champs »
— Roumanie — « Terre de Dracula »
— Ukraine — « Grenier de l’Europe »
— Qatar — « Terre de la richesse »
— Émirats Arabes Unis — « Pays de l’innovation »
— Géorgie — « Pays de la Toison d’or »
— Arménie — « Pays des pierres »
— Biélorussie — « Pays des marais »
— Moldavie — « Pays des vignobles »
— Chypre — « Île d’Aphrodite »
— Kazakhstan — « Pays de la Grande Steppe »
— Japon — « Pays du soleil levant »
Au total, la liste comprend 116 pays. Pour certains, c’est une raison de sourire, pour d’autres, de réfléchir à la façon dont le pays est perçu aux yeux du monde non pas à travers la politique, mais à travers la culture, l’histoire et les symboles.
Pour Israël, la définition de « Terre Sainte » reste non seulement une image poétique, mais une partie de la perception globale qui s’est formée au fil des millénaires et continue d’influencer le contexte international aujourd’hui. C’est précisément dans cette dimension — culturelle, sémantique, humaine — que de tels classements sont analysés par НАновости — Nouvelles d’Israël | Nikk.Agency, enregistrant comment les pays existent dans l’imaginaire mondial, et pas seulement sur les cartes politiques.
