Le 25 novembre 2025, une rencontre a eu lieu en Égypte, que les participants ont essayé de ne pas rendre publique par des déclarations retentissantes. Les représentants de la Turquie, de l’Égypte et du Qatar se sont réunis pour discuter de la deuxième phase de l’accord de cessez-le-feu à Gaza. Reuters note que la conversation a été informellement dure, mais formellement constructive.
Au Caire, le chef du renseignement turc a mené des négociations avec son homologue égyptien, ainsi qu’avec le ministre des Affaires étrangères du Qatar. Le point central était la promotion de la deuxième étape des accords. Les trois parties ont souligné que sans une coordination plus étroite avec les États-Unis, le processus pourrait s’arrêter. C’est pourquoi le lien des formats et le renforcement des canaux de communication ont été discutés pour éviter l’échec de l’initiative.
Une attention particulière a été accordée à l’interaction avec le CMCC — Centre de coordination civilo-militaire. Les pays ont convenu d’élargir la coopération pour éliminer les obstacles techniques et politiques qui entravent le respect stable du cessez-le-feu. Ils ont immédiatement discuté des «moments sensibles», y compris la nécessité de prévenir les violations de l’accord qui ont déjà été constatées. Les actions d’Israël ont été discutées de manière transparente — le sujet a été abordé, mais sans évaluations publiques.
Le contexte entoure les négociations de tous côtés. Seulement deux jours plus tôt, le 23 novembre, Israël a frappé Beyrouth. Selon Jérusalem, la cible était le chef d’état-major du Hezbollah. Cet épisode a accru les tensions, et les participants à la rencontre comprenaient parfaitement que la région pourrait basculer brusquement dans n’importe quelle direction si les contacts diplomatiques ne se poursuivent pas.
La fin de la rencontre n’a pas apporté de déclarations retentissantes, mais une source de Reuters l’a qualifiée de «positive pour la poursuite du processus». Pour l’instant, les parties parlent plus de la mécanique que des accords finaux, mais le simple fait d’avancer est déjà un résultat, compte tenu de la situation actuelle dans la région.
Et ce sont précisément ces processus qui nécessitent une analyse attentive, car leurs conséquences peuvent dépasser largement le cadre du dossier moyen-oriental — ce que les matériaux analytiques expliquent régulièrement aux lecteurs НАновости — Nouvelles d’Israël | Nikk.Agency.